Celui d’aimer. Toujours.Aimer même quand ça fait mal.Même quand c’est difficile à comprendre.On choisit de vivre avec bonté, de semer la paix là où il y a de la douleur, et de refléter un peu de Lui dans nos mots, dans nos gestes, dans notre façon de ressentir.On ne réussit pas toujours.On trébuche, on hésite, on se perd parfois.Mais on revient. On recommence.Parce qu’on veut être un refuge, un soulagement, une présence qui prend soin.Quelqu’un qui apporte de la lumière même discrète dans les coins éteints de la vie.Et sur ce chemin, on apprend aussi à vivre avec plus de douceur.À ne pas gaspiller ses jours. Parce que la vie est brève.À garder ce qui est léger, à cultiver ce qui nous fait grandir, et à laisser partir, avec tendresse, ce qui ne fleurit plus.À espérer avec espérance. À grandir avec intention, avec foi, avec vérité.Et dans le silence des prières, on comprend une chose profonde : aucun amour ne se compare à l’amour de Dieu. C’est le seul qui ne faillit jamais, qui ne part pas, qui ne renonce pas.Tandis que tant de sentiments se dissipent, Lui demeure fidèle, présent, entier.Ce n’est pas un amour à mériter, c’est un amour qui est.Constant. Réciproque. Inconditionnel.Il nous a aimés le premier. Et Il continue d’aimer…même quand on ne le mérite pas, même quand on L’oublie.Et cela, à Lui seul, est déjà une guérison, un abri, un tout.Parce que vivre ainsi est un acte de foi.Et aimer… c’est la forme la plus pure de demeurer en Dieu.
📷 25/12/24, 15h53.